Quand les microbes s’invitent au bureau
Nous le savons, le bien-être au travail passe également et bien évidemment par la santé des collaborateurs et il est de la responsabilité de l’entreprise de leur offrir un environnement de travail sécure et sain. De nombreuses solutions efficaces existent et ces dernières se dessinent parfois dans les caractéristiques du mobilier de bureau !
Alors que les employés et travailleurs sont en contact avec environ 10 millions de bactéries par jour et que 80% des infections peuvent se transmettre par les mains, comment éviter une contamination sur notre lieu de travail ? D’autant plus que le nombre de personnes se rendant au travail en étant malade est en constante augmentation.
Bien entendu, il s’agit de faire le tri entre les bactéries inoffensives et celles dites pathogènes. Pour ces dernières, l’évolution des modes de travail est un moyen de proliférer des plus intéressants. En effet, les espaces de travail collaboratifs, de plus en plus nombreux, sont des environnements propices à leur transmission. Alors que faire pour minimiser les contaminations ?
« Le lavage des mains et le nettoyage des surfaces sont certes des mesures valables pour limiter les bactéries dans l’espace de travail. Néanmoins, nous savons que ces actions et comportements ne sont pas suffisamment fréquents pour être réellement efficaces. Ainsi, dans les espaces partagés où les gens vont et viennent, comme les environnements conçus pour les employés mobiles, les salles de classe, les salles d’attente et les cafés, nous laissons une empreinte sous la forme de bactéries. » Michael Taylor, chercheur de Steelcase Workspace Futures.
Aussi, les technologies tuant les microbes ou ralentissant leur prolifération sont de plus en plus utilisés. En effet, ces agents antimicrobiens permettent de limiter la présence de bactéries sur les surfaces fréquemment touchées. De nature chimique ou naturelle, les antimicrobiens sont disponibles dans une grande diversité de produits allant des produits ménagers au dentifrice, en passant par les vêtements ou les jouets. Parmi eux, plusieurs sont particulièrement adaptés à l’environnement de travail. L’argent et le cuivre, intégrés sous forme de ions dans la conception de mobilier, par exemple, possèdent un fort pouvoir antimicrobien. De plus, les huiles essentielles telles que celles de clou de girofle, de thym ou de laurier possèdent également des caractéristiques antimicrobiennes et remplacent de plus en plus les substances chimiques dans les produits de nettoyage. Finalement, certaines topographies de surfaces comme la Sharklet® composée de millions de diamants microscopiques, sont des antimicrobiens naturels, non chimiques.
Alors, qu’il s’agisse de ions de cuivre ou d’argent ou de surfaces à l’environnement microscopique inhospitalier, gardez ces caractéristiques en tête au moment de choisir votre mobilier et préservez ainsi la santé de vos employés.
